Une pause et “ Dio vi salve Regina “ résonne en écho au sommet de la cage d’escalier.
Je me signe en cadence avec le bout de la langue. Ensuite, plus rien.
Un silence mat et vide juste avant ce cri énorme scandé de plus en plus fort, en même temps que dévale l’ascenseur au-dessus de ma tête :
– Je m’appelle Sauveur Pace, fils de Joseph Pace. Je m’appelle Sauveur Pace, fils de ….