(À demain 8h30…)
Les mots pour le dire
« Comme en plein été, sans prévenir, l’orage a surgi sur la ville et a pris ses aises. Gros grains de pluie et tonnerre à cœur joie, comme les après-midis d’août à Bauduen, dans notre Provence de l’enfance, lorsque le ciel grondait soudain et nous sortait de la sieste qui nous tenait à l’abri de la canicule. Pas d’éclair au-dessus des toits. Rien que le rythme jazzy des gouttes sur les vitres et les tuiles. »
… alors soudain, sous les paroles du conteur, l’averse se métamorphose. Elle se fait perles de pluies jazzy pour consoler une fin d’après-midi sur le point de sombrer dans la mélancolie… Merci l’artiste !
Mazette ! Grand merci, Paule 🙂 Mélancolie, oui, forcément. Nous en sommes tous là. Mais y sombrer, jamais !