La nuit, soudain un porte-bonheur

Ah, ces nuits d’été rêvées au Japon, lorsque passe le percussionniste avec ses bois porte-bonheur !

M’évoque ce court poème de Richard Brautigan dans son Journal japonais

En regardant mon lit / 3 heures du matin

« Dormir sans dormir,
pour ensuite redormir
sans
dormir. »