À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (6)

Chaque jour, un chapitre lu à voix haute de À la ligne – Feuillets d’usine, le roman de Joseph Ponthus (Chapitre 6)

Chaque jour, une chanson de Charles Trenet, dont Joseph Ponthus était fan.

 

Où sont-ils donc – Charles Trenet (1940)

(À demain, 7h30…)

livreJosephPonthus

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Concarneau, soudage des boîtes (1913)  @AgenceROL  (Source BNF Gallica)

À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (5)

Chaque jour, un chapitre lu à voix haute de À la ligne – Feuillets d’usine, le roman de Joseph Ponthus (Chapitre 5)

Chaque jour, une chanson de Charles Trenet, dont Joseph Ponthus était fan.

Vous qui passez sans me voir– Charles Trenet

livreJosephPonthus

(À demain, 7h30…)

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Concarneau, Fabrication des boîtes (1913)  @AgenceROL  (Source BNF Gallica)

À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (4)

Chaque jour, un chapitre lu à voix haute de À la ligne – Feuillets d’usine, le roman de Joseph Ponthus (Chapitre 4)

Chaque jour, une chanson de Charles Trenet, dont Joseph Ponthus était fan.

 

Le Jardin extraordinaire – Charles Trenet (1967)

(À demain, 7h30…)

livreJosephPonthus

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Concarneau, séchage des sardines (1913)  @AgenceROL  (Source BNF Gallica)

À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (3)

Chaque jour, un chapitre lu à voix haute de À la ligne – Feuillets d’usine, le roman de Joseph Ponthus (Chapitre 3)

 

Chaque jour, une chanson de Charles Trenet, dont Joseph Ponthus était fan.

 

 

Ménilmontant – Charles Trenet

(À demain, 7h30…)

livreJosephPonthus

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Concarneau, on essuie les boîtes (1913)  @AgenceROL  (Source BNF Gallica)

À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (2)

Chaque jour, un chapitre lu à voix haute de À la ligne – Feuillets d’usine, le roman de Joseph Ponthus (Chapitre 2)

Chaque jour, une chanson de Charles Trenet, dont Joseph Ponthus était fan.

Boum – Charles Trenet (1940)

(À demain, 7h30…)

livreJosephPonthus

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Concarneau, lavage des sardines (1913)  @AgenceROL  (Source BNF Gallica)

À la ligne – Feuillets d’usine – Lecture de Joseph Ponthus (1)

Je n’ai jamais rencontré Joseph Ponthus autrement qu’à travers son roman À la ligne, dédié à son amoureuse d’épouse et aux prolétaires de tous les pays. Je ne le rencontrerai jamais puisqu’il vient de disparaître, âgé à peine de 42 ans. J’aurais apprécié d’échanger avec lui à propos de la condition ouvrière, de Marx, d’Apollinaire, de Freud et de ses dix années de travail social comme éducateur spécialisé à Nanterre, moi qui le fut aussi pendant des années, à Marseille. J’aurais tant aimé lui dire en face toute mon affection, lui témoigner mon admiration pour son parcours et pour ce grand livre. Il me faut donc me résoudre à tenter de conjurer le silence qui nous tient irrémédiablement éloignés. Donner voix à son texte. Jour après jour, je lirai à voix haute, enregistrerai et publierai ici chacun des 66 chapitres du roman de Joseph Ponthus. Puisse-t-il y entendre un humble hommage à son humanité, son courage et son talent.

Joseph Ponthus était un fan absolu de Charles Trenet. Il l’évoque dans son livre. Alors, laissons chanter l’artiste !

Je chante – Charles Trenet – Printemps de Bourges 1987

(À demain, 7h30…)

livreJosephPonthus

À la ligne – Feuillets d’usine est publié aux Éditions de la Table Ronde et chez Folio

Photographie du haut : Concarneau, on enlève les têtes des sardines (1913)  @AgenceROL  (Source BNF Gallica)

SévillHaïku #9 Une Toccata pour Murillo

Sur son orgue doré
le virtuose offre
Bach à Murillo

une brillanteToccata et fugue en ré mineur
le chef d’œuvre de Jean-Sébastien Bach
pour célébrer les quatre-cents ans
de la naissance ici du peintre baroque
Bartolomé Esteban de son prénom
vénéré par Séville
comme son aîné Velásquez

Estaban-Murillo-Vierge-de-lImmaculee-Conception-

privilège d’assister
au concert-hommage
donné en l’église toute en dorures
de l’Hospital de los Venerables *

IMG_3349

le virtuose
Padre José Enrique Ayarra
est depuis bientôt un quart de siècle
organiste titulaire de la Giralda
la monumentale cathédrale sévillane

IMG_3250

ce grand maître de l’orgue
a donné plus de mille concerts
dans trente deux pays

* jusqu’au deux avril
l’Hospital de los Venerables
accueille une expo dédiée
aux deux peintre enfants de la cité

Illustration de ci-haut : La Vierge de l’Immaculée Conception – Murillo

Salies-de-Béarn est Charlie / NousSommesCharlie #2

Salies-de-Béarn ce jeudi-soir. Au lendemain de l’attaque contre Charlie Hebdo, six cents personnes reprennent Quand les hommes vivront d’amour, la chanson de Raymond Lévesque – écrite pendant la Guerre d’Algérie – devant le kiosque à musique du Jardin Public. À la trompette, Didier Fois, musicien et chef de file du groupe Arraya. Hommage et recueillement à l’appel de Claude Serres-Cousiné, le maire de la commune, passionné de BD.

IMG_5809IMG_5800IMG_5803IMG_5805 IMG_5813IMG_5810

 

 

Ibrahim Maalouf chante Nougaro

Ce moment de grâce est un cadeau. Mathilde me l’a adressé depuis Orthez. Samedi-soir, elle y a assisté au concert d’Ibrahim Maalouf au Festival Jazz naturel, sur la scène de la Moutète. Émerveillée, elle en est ressortie. Le trompettiste virtuose s’est montré à la hauteur de son talent immense. Et à la fin du concert, il a donné à entendre cet hommage à Claude Nougaro. Pour la première fois de sa vie en public. Il a raconté que comme lui, le chanteur toulousain était devenu père de sa fille Cécile à l’âge de 30 ans.

Sa générosité et son humilité, Ibrahim Maalouf les a exprimées aussi en invitant les jeunes trompettistes de l’École de musique d’Orthez à le rejoindre sur scène pour interpréter à ses côtés True sorry, le morceau qu’il joua aux Victoires de la Musique en février dernier au Zénith de Paris.

Eternal vibration, Yeah, Bob Marley !

Il y a 69 ans jour pour jour naissait Bob Marley, le musicien jamaïcain, chanteur de reggae de légende aux textes et rythmes qui portent le cri et les prières des déshérités, de tous les sans nom du monde. J’ai retrouvé dans mes archives – vive le podcasting – le très bel hommage que le Sonar de Radio Nova rendait à Robert Nesta Marley le 6 novembre 2007.

 

Heureux, chanceux, bénis ceux qui ont pu assister à un concert de Bob Marley.
Pour les autres, dont je suis, voici le Live qu’il donna à Santa Barbara en novembre 1979.

http://youtu.be/2a_4EKLBs9M

Bob Marley, le site officiel, c’est par ici