
Soudain, en silence –
sans autre arme que la grâce
défier le couchant
Oiseaux du bord de mer (Mélodies du Japon) – André Navarra, violoncelle et Annie D’Arco, piano
Maman écrivait, oui. Je vous le racontais ici l’autre jour. Aujourd’hui, envie de partager ce court poème que lui inspira un souvenir ancien.
L’orage
Nuage noir zébré de feu, colère des cieux
Visage sombre, mains levées, poings fermés, tables renversées, vaisselle cassée,
Les larmes coulaient
C’était dans le temps mais encor j’entends, mais encore je vois, quand l’orage est là. Lucette
Cette image a été conçue par l’artefact génératif DALL-E. Aurait-elle plu à Maman ?
(à bientôt !)