Une porte grince en un aller-retour rapide et terrifiant ponctué d’une brûlure aux poignets. Clic clac.
Je suis poussé puis cadenassé à un grillage qui se referme sur ma face et me serre contre un amas de câbles, de poids et de poulies.
Les mots restent murés au fond de ma gorge. Je n’ai plus la force de crier ni de prier.
J’entends des pas battre doucement et s’éloigner vers les étages.
Les souliers de Sauveur crissent sur le rebord de chaque marche.
(à suivre)