Le nervi s’approche des fils d’Angelo et l’arme au poing, en fait sortir cinq du rang. Chacun se relève, saisit un arrosoir et dévale l’allée des pensées en direction de la mer. Ils se rapprochent comme au ralenti. Je bats en retraite à reculons pour ne surtout pas les perdre de vue.
(à suivre)