Générique de fin #10

New_York_City_at_night_HDR

Zoé. Le prénom de ma grand-mère.

Celle qui n’émigra jamais plus loin que de son village à Marseille.

Cent dix kilomètres sur les ailes d’une calèche pour tomber chez des riches et suer sa vie durant comme bonniche.

Ces histoires du coeur de l’Amérique lui auraient écarquillé les yeux.

Malgré l’absence de Dieu et la moiteur des tropiques, je suis sûr qu’elle ne se serait pas sentie étrangère à ces femmes cent fois brisées et cent fois ressuscitées.

Zoé, c’est promis, votre livre je ne le quitterai plus.

Je l’emporte avec moi et pourquoi pas à Cuba.

(à suivre)

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.