Je suis sûr que vous faites pareil. Dès le saut du lit, avec Chantal, nous prenons des nouvelles des êtres chers. Qu’ils vivent à deux pas de la maison ou bien un peu plus loin ou bien encore plus loin, très loin même. Sans doute davantage qu’en temps normal, besoin de nous rapprocher des proches et des amis. Ne pas perdre le fil de ce qui continue de nous relier. Même si ce lien s’est dissous parfois au fil des années, il ne s’efface pas. Il continue de nous tenir ensemble. Ce-matin, devant un café au lait, c’est d’un homme qui nous raccorde à nos enfances à toutes et tous qu’ensemble nous nous sommes rapprochés.
(À demain 8h30…)
Aline – Christophe